Les machines ne dominent pas encore le monde, mais il faut quand même reconnaître que de formidables avancées sont faites. Regardez à quel point les gens les utilisent et comptent sur eux – ils ne peuvent aller nulle part sans leur téléphone qu’ils utilisent pour tout et n’importe quoi, qu’il s’agisse de s’amuser en ligne et de lire le guide paris foot en ligne ou de discuter avec leur famille. De plus, la vie sans technologie serait ennuyeuse et nous ne serions pas capables de faire autant de choses que nous faisons maintenant. Cependant, de nombreuses personnes un peu partout dans le monde, craignent qu’un jour, les humains soient remplacés par les ordinateurs. Rien ne prouve le contraire et une étude conduite par Katja Grace du Future of Humanity Institute à Oxford l’appui. Un sondage a été fait auprès de 350 professionnels de l’intelligence artificielle sur la durée qu’il faudrait aux machines pour exécuter à la perfection toutes les tâches habituellement faites par les humains. Selon eux, cela arrivera sans aucun doute dans la prochaine décennie.
A propos de l’intelligence artificielle
L’intelligence artificielle n’a pas vraiment d’autonomie, car tout est préalablement calculé. Il peut s’agir d’un logiciel ou programme informatique dont la configuration lui permet d’apprendre. Les spécialistes en informatique procèdent de sorte que leurs programmes soient capables de déchiffrer des images, de la vidéo, etc. toutes ces informations sont introduites dans l’ordinateur, de sorte que la machine soit capable de réaliser les tâches assignées.
L’important rôle des ingénieurs
Pour que l’ordinateur soit capable d’effectuer une tâche précise, il faut que les ingénieurs aient préalablement créé une sorte de réseau neuronal. Cependant, ce dernier n’a aucune ressemblance avec celui des humains. Celui de l’IA fait toujours intervenir la conception en amont d’un programme informatique qui servira de passerelle entre une information et une autre. Et si l’IA doit réaliser des tâches d’une grande complexité, il faut que les ingénieurs superposent de nombreuses couches de réseaux neuronaux. Les applications pratiques peuvent être la reconnaissance faciale par exemple.
Il n’y a pas vraiment de limites quant au champ d’action de l’IA, à condition qu’elle dispose d’assez de donnée et d’une puissance de calcul adéquate. Plusieurs emplois dans l’industrie sont déjà remplacés par des robots.
Le cerveau toujours en avance
L’intelligence artificielle peut-elle se substituer au cerveau humain ? La réponse est négative. A ce jour sur la terre, le cerveau humain est le plus puissant supercalculateur qui existe. Il consomme pour son activité de l’énergie qui est équivalente à celle d’une ampoule, si on procède à un comparatif avec les superordinateurs dont se servent les professionnels dans le secteur technologique de l’IA. Ces derniers ont besoins d’importantes quantités d’énergie pour fonctionner.
L’IA gagne cependant du terrain
Malgré cela, l’intelligence artificielle peut être d’une aide précieuse car elle vient en renfort aux médecins dans le diagnostic des maladies. Dans le domaine de l’éducation, elle constitue une aide précieuse aux enseignants, sans parler du secteur dans la finance ou les courtiers s’en servent pour les valeurs mobilières. Dans le futur, l’IA sera un atout indéniable dans l’amélioration de la mobilité des personnes âgées. Les professionnels pourront procéder à des implants de prothèses neuronales. Et contrairement aux idées qui circulent, l’intelligence artificielle ne mettra pas fin au travail des humains. Loin de là car elle en créera de nouvelles formes.
L’unicité du cerveau
De nombreux points justifient l’unicité du cerveau humain. Il est fait d’un ensemble de plus de 100 trillions de neurones ou de cellules qui peuvent conduire de l’électricité. Cela délivre une grande puissance de calcul qui n’est pas comparable à celle des intelligences artificielles. A ce jour et malgré toutes les avancées de la technologie, il n’est pas possible de dire avec la plus grande exactitude de quelle manière fonctionne notre cerveau. Avant de pouvoir le reproduire sur des machines qui surpasseront alors l’Homme, quelques décennies de recherche dans les neurosciences seront encore nécessaires. Ce n’est que là, que les scientifiques auront alors une vague idée de son réel fonctionnement. Il n’y a donc pas à s’inquiéter : les ordinateurs ne pourront sans doute pas nous surpasser de si tôt.